Les décors sont de Roger Hart

Un bon ami me demandait, non sans une certaine perfidie, pourquoi je n'aimais pas dessiner les décors. Bien évidemment, il sous-entendait par là que j'étais une feignasse de première et me demandait à demi-mots, de m'extirper les phalanges du fondement, pour reprendre, mais dans un langage plus châtié, une expression d'un ancien employeur dont la classe n'avait d'égale que la capacité à gérer de main de maître son entreprise. C'est dire !

Pour faire taire cette mauvaise langue qui me traîne dans la boue, et avant de lui dessiner son Didier Six, je rappelerai que c'est le grand Marcel Gotlib (dont certaines personnes, pourtant très proches, cherchent à salir le nom en lui prêtant des attirances politiques totalement inconcevables) qui m'a poussé sur les rudes sentiers du dessin. J'ai hérité de lui son goût immodéré pour reproduire les grands espaces.

Ceci dit, il m'arrive parfois de faire des efforts. La preuve en image :

Comments

[Lolive]

"…une expression d'un ancien employeur dont la classe n'avait d'égale que la capacité à gérer de main de maître son entreprise."
Est-ce pour cette raison que tu as dessiné un mongol ?

[nico]

Pi si tu arrêtais de te faire des débiles sur le forum du sluc, tu serais un peu moins susceptible hein ! 'spice d'anti-alsacien-bedonnant primaire va !

[nico]

c'était juste une conneuhrie ! Je l'ai bien vu ta montagne mongole héhé ;)

[nico]

Je vois bien le tsunami qui se paye la dune du pyla, mais du coup je ne comprend pas la sérénité du monsieur héhé

[lÅ]

Voilà, la preuve que je suis vraimpent mauvais, malgré tous les efforts. Il ne s'agit pas d'un tsunami, mais de montagnes mongoles, légèrement enneigées. Si le monsieur est serein, malgré une
techtonique des plaques indéniable, c'est que celle-ci ne sera jamais aussi rapide qu'un tsunami. Bouh, je suis malheureux !