Période bleue
Publié le 6 Novembre 2008
Avant de partir en (long) week-end, j'me permets de faire un petit clin d'œil à l'actualité. Non, non, je ne vais pas faire de vanne pourrie sur l'éléction d'un noir à la Maison Blanche. On risque
fort, dans les mois à venir de voir que cet Obama ne réussira pas à répondre aux attentes fantasmagoriques que des millions de gens ont placées en lui. Non ! En marge de l'élection présidentielle
d'un pays qui va continuer à envoyer des boys se faire exploser les gencives loin de chez eux, il y a l'expo Picasso, à Paris. Loin de moi l'idée de me comparer à celui qui restera, dans le
souvenir de la jeune généation, en manque flagrant de culture générale, comme un concepteur de monospace "ressemblant à un suppositoire" (dixit mon père adoptif mais néanmoins adoré JMB), mais faut
quand même bien reconnaître : c'est pas difficile d'avoir sa période rose, sa période bleue. Suffit juste de pas se tromper de pot de peinture.
Voici donc ma période bleue (vachement plus courte que celle du maître absolu) :
Pour la petite histoire, ce dessin provient d'un de mes nombreux projets ayant avorté (n'en déplaise à Sarah Palin) : le petit Schmürtz. Je ne vais pas en raconter ici l'histoire. Juste en dire que le propos et la morale (parce qu'il y en avait une) en étaient d'une mièvrerie à faire pleurer. Comme un bon vieux nanard ricain, puisque tel est le propos. Ceci dit, j'ai pris un pied incroyable à faire cette illustration. Ma période bleue à moi.
Voici donc ma période bleue (vachement plus courte que celle du maître absolu) :
Pour la petite histoire, ce dessin provient d'un de mes nombreux projets ayant avorté (n'en déplaise à Sarah Palin) : le petit Schmürtz. Je ne vais pas en raconter ici l'histoire. Juste en dire que le propos et la morale (parce qu'il y en avait une) en étaient d'une mièvrerie à faire pleurer. Comme un bon vieux nanard ricain, puisque tel est le propos. Ceci dit, j'ai pris un pied incroyable à faire cette illustration. Ma période bleue à moi.